A peine arrivées il nous a donc fallu nous adapter très vite, et c'est là que la maman d'Anish et sa cuisinière ont fait des miracles. C'est ce que j'appellerais de l'adaptation culturelle par l'art culinaire, hehe... Et nous préparer pour la cérémonie. Ça signifie; trouver des saris (2: un "de soirée" pour la réception, et un en soie, traditionnel pour la cérémonie), les faire couper sur mesure (les saris sont en général des grands morceaux de tissus que l'ont choisi et que l'on amène ensuite à un tailleur qui cout la blouse et la jupe portées sous le drapé), et puis trouver des chaussures (normalement des talons hauts pour ne pas marcher sur le sari!), des bijoux (le plus on en montre le mieux c'est...). La petite sœur d'Anish a été d'une grande aide pour toutes ces étapes, car je crois qu'on a frôlé la crise de nerf lorsque Mélanie et moi-même nous sommes retrouvées au milieu d'un étalage incroyable de soieries toutes plus belles les unes que les autres ("material girls"?). On ajoute à tout ça un pyjama (tunique longue et pantalon large pour les choses moins formelles) à porter le soir même pour la phase 1 de la fiesta: une sorte de petite soirée avec évidemment des plats traditionnels (n'oublions pas de "nous adapter"!), des chants et de la danse (interprétés par les invités eux-même, car oui en Inde, il n'est jamais besoin de forcer les gens pour qu'ils prennent le micro!), et du henné pour les mains des femmes.
En photo, les futurs mariés, notre séance de maquillage des mains, et puis le gentil tailleur qui a coupé nos saris parfaitement en un temps record.
1 commentaire:
Et bien je n'ai jamais mis de sari figure toi! Ca doit etre sympa de le revoir dans ta garde robe, avec les souvenirs et tout...
Véro
Enregistrer un commentaire